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C’est déjà Culte. Les conférences. Master mention ACAC
le 30 juin 2021
L’association du master mention ACAC a organisé en 2021 une série de rencontres avec des personnalités de haut niveau du secteur culturel.

Les conférences «C’est Déjà Culte» sont un projet réalisé par l’association du master Administration et Communication des Activités Culturelles (ACAC) de l’Université Toulouse Capitole, visant à rencontrer des professionnels du secteur culturel.

Les 2 premières conférences de cette série :


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Marie-Laure Augry
, figure emblématique de la télévision, actuelle vice-présidente de l’association « Journalisme & Citoyenneté »  qui organise Les Assises internationales du journalisme de Tours. Marie-Laure Augry est par ailleurs la marraine de la promotion 2020-2021 du master ACAC.



«  Le rachat de TF1 par Bouygues en 1987 a sonné comme « une onde de choc » pour Marie-Laure Augry. Deux univers, deux mondes se sont heurtés. En reprenant ses mots, ce fut la rencontre entre « les géomètres et les saltimbanques ». « Un choc des cultures ». Cette privatisation a été synonyme de rentabilité, symbolisée par l’arrivée de l’audience. Elles se mettent à tomber tous les jours quand, dans le monde d’avant, elles n’étaient relatées que tous les trois mois. L’audience est devenue l’intérêt premier en parallèle du cours de la bourse. Elle nous énonce alors les nouvelles règles effectives: «si vous ne faisiez pas 40% de parts de marché vous saviez que votre sort était scellé». L’ère du dictat de l’audience était arrivée ».

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Olivier Saillard
, historien de la mode, directeur artistique de JM. Weston et ancien directeur du palais Galliera.

 




Comment vous est venue l’envie de présenter
les performances telles que «The Impossible Wardrobe» ou «Models Never Talk» ? En tant qu’historien de la mode, y a t-il eu des inspirations qui vous ont mené à ce mariage, cette vision mode/performance ? (Schiaparelli dans les années 20, Kusama dans les années 60, les japonais Kawabuko, ou Miyake dans les années 70/80 ?)

«  Le principe de ces performances répond à un souhait d’introduire du vivant, du mouvement dans le patrimoine de la mode au musée sans pour autant concevoir un défilé. Il s’agissait aussi d’inviter le souvenir à se raconter, à se transmettre . D’un point de vue poétique et performatif, les défilés de Yohji Yamamoto ont toujours été d’une inspiration et d’une influence plus que tous les autres ».

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